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K#10 Comment piloter l’association gestionnaire du « .fr »

Portrait de Pierre Bonis, DG de l'association AFNIC et mentions du titre de l'épisode 10 "Comment piloter l'association gestionnaire historique du ".fr"?"

Pierre BONIS est le Délégué général de l’association Afnic. Il s’agit de l’office d’enregistrement désigné par l’État pour la gestion des noms de domaine en « .fr ». L’Afnic contribue au développement d’un Internet sûr et stable, ouvert aux innovations.

À la tête d’une équipe de 80 salariés·es et avec une centaine de membres, Pierre gère + 3.4 millions de noms de domaine et réalise 17 millions € de CA dont 90 % des bénéfices de l’activité du « .fr » sont reversés à la Fondation Afnic qui œuvre pour la solidarité numérique.

Dans cet épisode, vous découvrirez :

  • La présentation de l’Afnic, sa mission et son rôle dans le paysage de l’Internet,
  • Comment s’organise sa Gouvernance et comment l’équipe permanente est-elle managée,
  • Comment l’association est-elle pilotée et avec quels outils,
  • Quel est son modèle économique et quels sont les indicateurs du tableau de bord.

La Fiche d’Identité de l’Afnic

L’Afnic est une association à but non lucratif issue en 1998 de l’Institut National de la Recherche en Informatique et Automatique (INRIA) qui avait hébergé cette activité pionnière de l’Internet français depuis le milieu des années 1980. Sa gouvernance est multipartite c’est-à-dire qu’elle associe pouvoirs publics, utilisateurs et secteur privé.

L’Afnic est une association indépendante, qui ne reçoit aucune subvention et fonctionne comme une entreprise. Le financement de l’activité et de son équipe est entièrement assuré par la commercialisation de ses prestations.

L’Afnic assure la gestion des extensions françaises de l’Internet : .fr (France), .re (La Réunion), .yt (Mayotte), .wf (Wallis et Futuna), .tf (Terres Australes et Antarctiques) et .pm (Saint-Pierre et Miquelon), ce qui représente plus de 3 millions de noms de domaine.  

Ce rôle s’inscrit dans une mission d’intérêt général plus large, qui consiste à contribuer au quotidien, grâce aux efforts de ses équipes et de ses membres :

  • à un Internet sûr et stable ;
  • ouvert aux innovations ;
  • Où la communauté Internet française joue un rôle de premier plan.

Une des particularités de l’Afnic réside dans la structure de son équipe : c’est une équipe de 100 adhérents et 80 salariés.

La mission de l’Afnic

Sa mission est l’animation de la communauté internet française à travers le monde, c’est-à-dire les utilisateurs du «.fr » et ses extensions, à travers :

  • les événements,
  • les comités de concertation,
  • le Forum sur la Gouvernance de l’Internet dont l’association est co-organisatrice et qui est ouvert à tous,
  • l’association est co-présidente du Forum Gouvernance de l’Internet Monde, ouvert par le président Macron et le Secrétaire Général des Nations Unie à l’UNESCO et aussi co-organisatrice avec le Ministères Français des Affaires Etrangères.

Le rôle de l’Afnic :

  • Le rôle de l’Afnic n’est pas de parler au nom de la communauté française mais d’être un acteur majeur de la communauté française dans ses instances internationales.
  • L’Afnic est membre du régulateur économique du système des noms de domaine qui est l’organisation californienne ICANN.
  • L’Afnicest membre du CA de l’association de ses homologues européens.
  • L’Afnic est membre et contributeur dans les organismes techniques (qui font des normes techniques de l’internet, les protocoles que l’on utilise tous les jours). Ce sont des ingénieurs qui vont contribuer.
  • L’Afnic a toute une activité qui est tournée vers la contribution technique à l’élaboration des standards, des normes de l’Internet dans le monde. L’association est un tout petit organisme par rapport à des Google ou des Microsoft, mais elle contribue sur des choses très particulières tels que les DNS ou le nommage, ou sur des sujets particulièrement importants en France comme l’évolution de la norme.

Exemple : l’Afnic est leader sur l’évolution profonde d’une norme de nommage internet permettant de réduire le nombre drastique d’informations nécessaires au fonctionnement du système. C’est le meilleur moyen de limiter la propagation des données personnelles.

La partie internationale :

  • L’Afnic est membre de différents Comités européens et mondiaux.
  • Le milieu des noms de domaine est un petit milieu même si les problématiques sont très importantes.
  • L’Afnic adhère aux organisations internationales qui tournent autour de ces problématiques techniques et aussi de la Gouvernance.

Les Chiffres clés

  • + de 80 collaborateurs,
  • + de 17 millions de chiffre d’affaire en 2018,
  • 4 millions de « .fr ».
  • 20 extensions en production : «.paris » pour la Mairie de Paris, le «.bzh » pour la Bretagne
  • 90% des revenus du « .fr » sont reversés à la Fondation Afnic pour la Solidarité Numérique. C’est une fondation hébergée auprès de la Fondation de France qui a pour but de financer des projets de solidarité numérique sur le terrain, dans l’ensemble des régions françaises.
  • 100 membres : société, particuliers. Association ouverte. Tout le monde peut y adhérer. Des bureaux d’enregistrement aussi, des correspondants internationaux (homologues francophones en Afrique).
  • 117 projets soutenus, pour un peu + de 2,8 millions d’euros
  • 90% de satisfaction client depuis 2018
  • Un taux de croissance du « .fr » de 4,4% en 2018, qui représente le double de la croissance européenne actuelle.

Comment s’organise la Gouvernance de l’Afnic ?

Réforme récente des Statuts

  • Réforme récente des Statuts pour interdire l’adhésion des salariés. Car si tous les salariés adhèrent, ils sont plus nombreux et cela devient une scop et non plus une association.
  • L’augmentation du nombre d’adhérents est très lente, c’est du bouche-à-oreille et ce n’est pas une priorité.
  • L’important est de s’assurer qu’il y ait une représentation équilibrée des différentes parties prenantes. La Gouvernance doit représenter la diversité des intérêts. L’association se demande plutôt quel type d’acteur il manque plutôt que de faire de l’adhésion de masse. Il faut maintenir la stabilité du Conseil d’Administration.

« La masse n’a pas grand sens quand on veut être stable dans la Gouvernance ».

Les collèges d’adhérents

  • 1 collège des bureaux d’enregistrement: ce sont les personnes qui vendent les « .fr » et qui sont accréditées par l’Afnic : cela représente 400 bureaux d’enregistrement qui ont un contrat mais qui comptent seulement une trentaine d’adhérents. Ce collège dispose de 2 sièges au Conseil d’Administration.
  • 1 collège des utilisateurs : tous ceux qui ne sont pas bureau d’enregistrement : personnes physiques et morales, chercheurs, groupements d’entreprises, d’autres associations… Ce collège dispose de 2 sièges au CA.
  • 1 collège des correspondants internationaux: homologues, notamment en Afrique francophone. 1 siège au CA.

 Le conseil d’Administration

Le Conseil d’Administration est multi acteurs : secteurs privé/public, académique, personnes publiques, individus, associations, spécialistes. Le caractère multi acteurs de l’Afnic provient des règles de base techniques de gestion des noms de domaine. Le registre Internet doit être géré par toutes les parties prenantes qui utilisent le « .fr ». Le bon modèle en France, c’est l’association loi 1901.

Le Conseil d’Administration est composé de 10 Administrateurs, 5 issus des collèges cotisants. Et 5 issus des membres fondateurs, c’est-à-dire les pouvoirs publics à l’origine de la création de l’Afnic :

  • le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche (1 siège),
  • le Ministère en charge des Communications Electroniques (1 siège),
  • le Ministère en Charge de l’Industrie (1 siège),
  • les 2 derniers sièges sont pour l’INRIA: Institut de Recherche en Informatique Appliqué. En réalité, l’Afnic vient d’INRIA et l’INRIA représente 50 % du CA.

 Le Président est élu au sein des fondateurs représentants de l’Etat.L’Afnic n’a pas de bureau classique avec un Président, un Secrétaire et un Trésorier. La partie exécutive se situe au niveau du Directeur Général. Le CA se réunit 5 fois au minimum dans l’année. Il dure une journée.

 L’Assemblée générale

L’AG se réunit 1 fois par an, sur une matinée en juin. L’après-midi est consacrée au renouvellement du CA. L’AG est aussi l’occasion du dîner annuel.

 Les comités exécutifs

L’Afnic possède différents comités composés des membres du CA.

  • Le Comité des engagements : Administrateurs qui administrent les appels d’offres.
  • Le comité des finances, qui voit avant le CA les éléments budgétaires.
  • Les Comités permettent de faciliter les décisions du CA, en travaillant sur des points techniques à la place des postes statutaires type secrétaire ou trésorier. Toutes ces fonctions sont dans l’exécutif.

 Le rapport d’activité

Rédigé une fois par an et mis en ligne dans la foulée de l’AG. Le rapport d’activité est souvent un support de communication. Mais il existe une autre école, celle de l’Afnic, qui constate que le rapport d’activité n’est pas un scoop. Ce qui est communiqué à la presse est le rapport d’activité de l’année précédente. Les communications ont déjà été faites : la croissance, la performance etc. Ce n’est donc pas un objet de communication mais un objet de référence. C’est un outil de référence et de transparence. C’est un bien public. Le rapport d’activité est rédigé par Pierre BONIS.

Comment l’équipe permanente est-elle managée ?

La force du management intermédiaire

  • Cela se traduit par un management intermédiaireavec une dizaine de managers qui font partie du Comité de direction, lui-même piloté par le DG.
  • L’équipe est répartie ainsi : 50% de l’effectif est réparti sur le côté ingénierie et technique: au sens large, la direction des systèmes d’information mais aussi R&D qui est importante à l’Afnic.
  • 50% de l’effectif sont des services support, tel le service juridique avec résolution de litiges.
  • Chaque service est composé de 2 ou 3 personnes, avec un manager. Ce sont de petites équipes très agiles. L’Afnic n’est pas une association très hiérarchisée verticalement. Tout le monde intervient avec tout le monde à tous les niveaux. Cela peut parfois fonctionner en silo du point de vu des métiers, du fait de la spécialisation poussée : il en résulte une forme d’autonomie sur la spécialité. Mais l’ensemble est relativement horizontal: c’est la culture de la décision collective.
  • L’association se rapproche parfois de la coopérative dans les aspects très techniques. Parfois les personnes agissent comme des codirigeants sur les aspects très techniques. Ils interviennent beaucoup plus que le manager direct ou le directeur.
  • Mais la stratégie est élaborée par le DG et les objectifs sont fixés par le Comité de direction.
  • L’organisation des services support est classique : une DSI, une DAF, une DRH, une direction marketing et commerciale.

Mobilisation et motivation de l’équipe permanente

  • 1 réunion collective avec les managers une fois par mois, au minimum une fois par trimestre, présidée par le DRH. C’est l’occasion pour une partie de redonner des éléments de stratégie, et à l’inverse, de faire remonter les problématiques des managers.
  • 1 plénière qui réunit tous les salariés une fois par trimestre, avec accueil des nouveaux salariés. Mise en valeur d’un ou deux projets qui ont particulièrement avancés dans le trimestre.
  • 1 séminaire d’entreprise tous les anssur une thématique différente, la plupart du temps tourné autour du plan d’action et de la stratégie. Le team building fonctionnait bien lorsque l’équipe était plus petite. C’est plus compliqué avec une grosse équipe et c’est onéreux.

 L’Innovation : Recherche et Développement

  • Le secteur de l’innovation est composé d’une petite équipe de 4 personnes : la direction des partenariats et de l’innovation.
  • Des ingénieurs participent de temps en temps à des travaux de recherche. Il y a un travail avec des centres de recherche : comme l’INT (Institut National des Télécom de Bretagne) ou l’Ecole Polytechnique.
  • Les alternants et les stagiaires ne sont pas des polytechniciens. L’Afnic finance des associations qui, elles, ont des alternants polytechniciens.
  • Il y a 3 projets de recherche collaborative en parallèle. L’Afnic investit dans la R&D et le transfert de connaissances et de compétences (transfert de compétence, sensibilisation, cours dans les écoles…).
  • C’est une obligation du Service Public de s’engager sur la R&D et l’Innovation comme une charge du «.fr » et non comme un bénéfice.

Le Comité de direction

  • Les réunions se font toujours en présentiel. Tout le monde est au même endroit. C’est l’occasion de se voir et d’avoir un temps de direction ensemble.
  • Au début, le Comité de Direction se réunissait tous les 15 jours. C’est en train de changer. Il est difficile de le situer entre le comité exécutif, très opérationnel avec un tour de table pour faire remonter ce qu’il se passe dans les équipes et un comité de direction : plus stratégique.
  • La stratégie n’est pas évoquée tous les 15 jours. L’organisation se situe un peu entre les deux : exécutif et stratégique, plus une réunion tous les mois, qui dure environ 3h.
  • A l’issue de chaque comité de direction, un compte-rendu est rédigé et distribué à l’ensemble des salariés, c’est « l’essentiel du CODIR ». Les décisions sont systématiquement communiquées.
  • Le tableau de bord des performances de l’association est étudié tous les mois et communiqué à toute l’équipe.
  • Récemment, Pierre a mis en place un « Open CODIR» : une porte ouverte à tous les Directeurs une fois par mois, pour évoquer les sujets opérationnels.

 Quels sont les indicateurs du tableau de bord ?

Pierre suit une dizaine de gros indicateurs tous les mois, qui sont rattachés à l’un des axes stratégiques de l’association :

  • La performance du « .fr »: son taux de renouvellement et sa croissance mois par mois. Des indicateurs sont mis en place sur les autres extensions gérées afin de suivre la bonne dynamique d’enregistrement des domaines suivis.
  • Le nombre d’enregistrements réalisés suite aux opérations commerciales ou de promotion : c’est la capacité de l’Afnic à influencer le marché.
  • Le nombre de TPE ou PME sensibilisées, rencontrées physiquement pour les accompagner dans leur présence en ligne. Cela concernait 15 000 TPE / PME en 2018. Un axe de performance qui réunit des projets d’entreprise : des indicateurs de suivi de l’avancement sont mis en place.
  • Un indicateur RH sur la réalisation du plan de formation. Des indicateurs sur le nombre de collaborateurs formés, sur quelle technologie. Des indicateurs sur la bonne dépense du budget de la formationpour rester très performant techniquement.
  • Des indicateurs sur la réalisation des plans de traitement des risques informatiques: plan d’action pour maintenir le niveau de sécurité optimal du « .fr ».
  • Il existe aussi 2 ou 3 tableaux sur la communication et l’image de l’Afnic: l’association mesure sa tonalité sur les médias sociaux etc.

Les indicateurs de pilotage doivent être maniés avec prudence : attention à ce que la méthodologie ne soit pas trop complexe. Le risque serait qu’elle ne soit pas appropriée par les salariés, qu’elle devienne un frein car difficilement comprise.

Quels sont les outils utilisés pour piloter l’association ?

  • L’Afnic utilise la Méthode d’Amélioration Continue basée sur le modèle EFQM – European Foundation for Qualité Management. Ce sont des grands principes d’amélioration continue et de management de la qualité, moins formels que l’ISO 9001. Cette méthode est accompagnée de ses tableaux de bord spécifiques. Pour plus d’information sur la qualité, n’hésitez pas à (ré)écouter l’épisode bonus thématique #2 avec Hélène Mollaret, Directrice d’Initiative Nord Isère et l’épisode #6 avec Audrey Chavas, DG du MFQRA.
  • Les objectifs individuels et collectifs de chaque salarié : c’est un moyen pour les managers et le DG de savoir où en est l’association sur les différentes problématiques, de poser des questions, de jauger l’ambiance de travail, de lever les éventuels points de blocage. C’est un très bon outil pour identifier ses priorités.
  • Les outils sont des supports objectifs de discussion sur ce qu’il y a à faire, pourquoi cela est fait et quels sont les objectifs.

Quel est le modèle économique de l’Afnic ?

  •  L’association fonctionne sans subvention, à l’exception des projets de recherche ou d’un programme européen.
  • La plus grande partie de son financement provient de la vente de produits et services.
  • S’ajoutent les cotisations: il y a 100 membres et les cotisations sont attractives. Ce qui représente très peu de revenus.
  • L’Afnic gère pour le compte de l’État le « .fr ». Le prix de vente historiquement a été fixé par l’association. Puis il y a eu un contrat en 2011 avec l’état. Pour faire évoluer ce prix, il serait nécessaire d’obtenir l’accord de l’État. Le « .fr » vaut 4,20€ en « sortie d’usine », sorti du bureau d’hébergement. Le prix n’est pas complètement libre. Il peut bouger en fonction des objectifs.
  • Le prix final dépend du type de services complémentaires : l’objectif de l’association est de mettre en place les services support du développement de l’économie numérique.
  • A partir du moment où le « .fr » fonctionne, à partir du moment où il est stable : la liberté des prix s’exerce du côté des vendeurs.

Quelle est la zone de génie de Pierre en tant que Délégué général :

  • Donner du sens au CA et aux salariés.
  • Faire en sorte que le respect soit permanent entre l’équipe bénévole et l’équipe permanente. Le DG est membre du CA, il est salarié de l’association. L’enjeu est majeur. Il est une interface. Il ne doit pas y avoir de distance entre le CA et les salariés.
  • Si cela fonctionne : cela veut dire que tout le monde comprend la même chose, que la stratégie est comprise et validée.
  • Il y a dans la notion d’association une anticipation très forte de ce que l’on appelle la responsabilité sociétale et environnementale. L’objet social ne peut pas être un supplément, c’est la raison d’être d’une association.

« On a tous des relations avec notre Conseil d’administration, avec notre Assemblée générale, qui sont plus directes, plus désintermédiées que dans une grande entreprise. »

Les difficultés du DG ?

« Il faut trouver le bon curseur sans rentrer complètement dans le micro-management tout en n’étant pas séparé de l’opérationnel ».

  • Beaucoup de choses sont difficiles mais aucune n’est rédhibitoire, aucune n’est la hantise.
  • La motivation du personnel est essentielle et toujours à recommencer.
  • Garder le cap stratégique est une chose très importante aussi.
  • Le positionnement du dirigeant dans une entreprise de cette taille-là est compliqué. Le positionnement ne doit pas être intrusif mais sans être complètement détaché. C’est une posture à retravailler en permanence.

« Un bon dirigeant d’association, c’est un dirigeant qui est très complet : il est obligé de penser à la stabilité et la rentabilité d’un côté et au financement de l’objet social principal de l’association de l’autre côté. »

 Revoir le teaser « Meilleure pratique de DG » avec Pierre BONIS

Comment contacter Pierre :

  • Passer par Pascal Vella, le Community Manager de l’Afnic
  • Coordonnées de Pascal à obtenir auprès de Claire Ribouillard :

claire @ assopreneur.org

En savoir + sur l’Afnic :

 L’actu Kairosarium

  • Nous constituons la 2e promotion du mastermind group des Délégués·es généraux·ales. N’hésitez pas à me contacter pour en faire partie ou obtenir des infos.
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